Apses formation

Site de formation en Sciences Economiques et Sociales
  • Informez-vous sur les concours
    Informez-vous sur les concours

    Un portail dédié aux différents concours de SES

  • Pédagogie
    Pédagogie

    Découvrez et analysez des séquences pédagogiques réellement mises en oeuvre dans les classes.

  • Des conseils de préparation
    Des conseils de préparation

    Des pistes de travail et des conseils de lecture mis à la disposition de tous

  • L'accès à une liste de diffusion
    L'accès à une liste de diffusion

    Une liste de diffusion dédiée à la préparation des concours pour mutualiser et se motiver

  • Espace dédié aux tuteurs et formateurs
    Espace dédié aux tuteurs et formateurs

    Espace réservé pour mutualiser ses outils, idées et questionnements

L’épreuve sur dossier : mode d'emploi (CAPES Interne)

Share

 Prenez connaissance des principales recommandations pour l'épreuve sur dossier du CAPES Interne.

 

L’épreuve sur dossier consiste à présenter une séquence d'enseignement portant sur un thème des programmes de sciences économiques et sociales en vigueur (enseignement d’exploration de la classe de seconde, enseignement de SES de la classe de première ES, enseignement obligatoire de SES de la classe de Terminale ES, enseignement de spécialité de SES de la classe de Terminale ES).

L’utilisation du dossier

Sur la première page du dossier figurent la classe à laquelle est destinée la leçon, la durée de la séquence d’enseignement (une à deux heures), ainsi que le thème du programme concerné.

Le dossier est généralement constitué de trois ou quatre documents de nature variée, extraits de diverses sources (ouvrages, revues, rapports officiels, sites officiels…). Il revient au candidat, compte-tenu des documents dont il dispose, de construire une séquence de cours de 1 à 2 heures. Le réalisme du contenu développé au regard de cette contrainte de temps est essentiel.

On attend du candidat qu’il délimite et définisse le sujet qu’il va traiter, en réponse à l’une des questions centrales du thème proposé, en s’appuyant sur le contenu de ce dossier. Il appartient donc au candidat de cibler la question à laquelle le dossier se réfère, ceci pour délimiter les contours de la séquence. Le dossier n’a pas vocation à couvrir l’intégralité des savoirs requis pour traiter la partie de programme concernée. On attend donc également du candidat qu’il mobilise à la fois des connaissances personnelles approfondies et ses capacités d’exploitation d’un dossier documentaire.

Si le dossier doit nécessairement être utilisé, il appartient au candidat d’effectuer des choix dans l’utilisation des documents, choix qui devront être justifiés, et d’apporter les compléments d’informations nécessaires. Il est, de ce point de vue, bienvenu de proposer les références d’éventuels documents alternatifs.

L’exploitation du dossier est essentielle : le candidat doit être capable de distinguer, au sein des documents les parties qui peuvent être utilement distribuées aux élèves, et à quelles fins.

Sur ce dernier point, la finalité d’un travail éventuellement proposé aux élèves est prépondérante. A contrario, certains candidats ne tirent pas la quintessence des documents parce que la mise en activité qu’ils proposent se limite, soit à la vérification d’une compétence (savoir lire une donnée, effectuer un calcul avec comme seul objectif la mobilisation d’un savoir-faire, comprendre une phrase, définir une notion) soit à la paraphrase. Ce travail de vérification est parfois nécessaire. Il n’est jamais suffisant. Il ne s’agit pas de “ picorer ” des informations, ce qui reviendrait à appauvrir le texte ou les données statistiques fournies ; le traitement des informations, une analyse approfondie des idées ou des faits présentés, le développement de certains points parfois seulement évoqués, l’explicitation de raisonnements, la mobilisation de l’esprit critique, l’illustration par des faits ou inversement la référence à des points de théorie, la mise en relation des différents documents, constituent autant de moyens permettant d’enrichir le matériau de base afin de nourrir une argumentation solide au service de la défense d’une thèse.

De nombreuses erreurs dans le traitement des données statistiques, par ailleurs souvent très pauvre, ont été relevées.

Les textes sont souvent à la fois un peu plus complexes et un peu plus longs que ceux que l’on trouve habituellement dans les manuels, ou a fortiori dans les sujets d’examen (ils ne sont, par exemple, pas soumis à la contrainte de limitation de taille ) ; c’est d’abord parce que le choix a été fait de les tronquer le moins possible afin de ne pas les appauvrir, et surtout parce qu’ils sont destinés au professeur pour la préparation de sa séquence ; ils ne sont pas obligatoirement accessibles dans leur intégralité à tous les lycéens.

 

  • Points forts Points faibles

 

Points forts   Points faibles

- L’exploitation des documents  ne se réduit pas à un jeu questions

– réponses attendues ; le traitement des informations (passage d’un texte à un schéma ou d’un texte à un tableau analytique, traitement des données quantitatives, …) est guidé par les besoins de la démonstration ;

- Distinction justifiée des usages faits des documents ou des morceaux de documents : lesquels seront distribués aux élèves et pour quoi faire ?

- Référence à des documents ou ressources complémentaires ; apport de connaissances venant éclairer les contenus ;

- L’exploitation des documents est rigoureuse 

- L’absence de problématisation qui permet de donner du sens aux informations ;

- Le dossier documentaire est peu utilisé ;

- l’argumentation repose sur la paraphrase des documents ;

- Les notions évoquées ne sont pas définies ;

- Le candidat énumère beaucoup de questions qui seraient posées aux élèves, sans les inscrire dans un cadre d’analyse clair ;

- il n’apporte pas les réponses attendues ;

- Le travail d’exploitation des documents n’est pas mis au service de l’argumentation ;

- Les données statistiques sont sous exploitées ; c’est notamment le cas lorsqu’un candidat propose de distribuer tout un tableau de données  statistiques et se contente de la lecture de quelques-unes d’entre elles, ou d’un usage exclusivement illustratif d’une idée à partir de données ponctuelles. 

 

Le contenu de l'exposé

 

  • Savoir présenter son exposé :

À juste titre, nombre de candidats situent le thème au sein du programme et précisent la manière dont ils conçoivent leur progression pédagogique, réfléchissent sur l’articulation des parties de programmes. Au sein de la partie de programme énoncée, quel item ou question va-t-on aborder ? Quelles notions essentielles doivent être étudiées ? Quels sont les prérequis ? Sur quelles compétences déjà acquises peut-on s’appuyer ? Toutes ces questions sont légitimes dès lors qu’elles sont effectivement prises en compte dans la suite de l’exposé ; de ce point de vue, la référence à des prérequis, souvent sous forme d’une simple énumération, est parfois convenue. Si des savoirs ou des savoir-faire sont jugés indispensables, il serait logique que cela apparaisse clairement dans la suite de l’exposé, le candidat doit donc préciser et/ou clairement faire apparaître à quel moment ils seront mobilisés et dans quel but.

Dès l’introduction, il est indispensable d’annoncer avec la plus grande clarté l’objectif visé : quel problème veut-on résoudre ? Que veut-on démontrer ? Quelle doit-être la trace écrite du cours ? En écho à ce questionnement introductif, une réponse doit être apportée en conclusion : qu’ont appris les élèves ? Comment va-t-on vérifier les acquis jugés fondamentaux ? Quels sont, éventuellement, les prolongements de la leçon ? À quel moment les connaissances transmises ce jour seront-elles remobilisées ? La réflexion sur une évaluation des acquis trouve pleinement sa place dans l’exposé.

L’introduction est un moment important ; ce n’est pas pour autant qu’il faut lui donner une place démesurée, l’essentiel résidant dans le traitement du sujet retenu.

 

  • Points forts Points faibles

 

Points forts   Points faibles

- Une formulation d’une problématique claire ;

- Un exposé démonstratif ;

- Une mobilisation de connaissances personnelles qui atteste de la maîtrise de la discipline ;

- La conclusion fait écho au questionnement initial ;

- La mobilisation d’arguments théoriques et factuels, le souci d’illustrer son propos par des exemples éclairants ;

- Une capacité à rendre accessibles à des élèves des savoirs complexes. 

- Un plan qui ne correspond à aucune progression (I/ Définitions, II/ …)

- Exposé insipide, sans développement, sans exigence quant au contenu scientifique ;

- Connaissance approximative des objectifs formulés dans les programmes officiels ;

- L’annonce de prérequis qui ne seront pas mobilisés et/ou qui ne s’inscrivent pas dans les programmes d’enseignement ;

- Un contenu de la séance non adapté au niveau des élèves.

 

 

Savoir problématiser le sujet et structurer la réponse

Il convient de veiller à ce qu’il y ait une problématique.

Le plan est construit pour répondre à cette dernière. Il doit aussi être équilibré. L’intitulé des parties et sous-parties est d’autant plus efficace qu’il laisse apparaître une progression argumentative, et donne de la lisibilité à la démarche.

Quelques écueils sont à éviter : le premier est celui d’une coquille vide de sens, au sein de laquelle on va seulement plaquer quelques commentaires de documents ; le second est celui d’une série d’annonces essentiellement allusives : annoncer ce que l’on traiterait sans jamais développer ses idées s’avère contreproductif. Le plan étant donné, le jury attend des candidats qu’ils développent leurs argumentaires et apportent des éléments de contenu, ils doivent proposer une leçon, un exposé qui apporte de façon structurée une réponse à une problématique.

L’une des difficultés auxquelles se heurtent beaucoup de candidats est de concilier l’exigence d’un exposé dont la qualité de fond est indéniable avec la prise en compte de la mise en activité de la classe ; c’est pourtant ce que tout professeur est normalement amené à faire au quotidien. L’origine de cette difficulté provient souvent d’une confusion entre mise en activité et cours dialogué : “ je poserais telle question, et j’attendrais telle réponse ”. Préciser la réponse attendue est certes une bonne chose, mais les candidats pourraient, à bon escient, imaginer d’autres formes de mise en activité que le traditionnel jeu “ questions – réponses ”.

Par ailleurs, la finalité de cette mise en activité doit être explicitée. Une analyse approfondie trouve le plus souvent son origine dans un travail de production.

Le contenu de l’exposé doit témoigner de la maîtrise des connaissances scientifiques par le candidat. Il doit refléter un niveau de maitrise des connaissances qui va au-delà de ce qui serait seulement considéré comme exigible face à des élèves. Parallèlement, les candidats sont invités à bien analyser les textes, précisant les programmes et modalités de certification relatifs à la discipline, et parus au BO, ils seront ainsi en mesure de mieux cerner les attentes.

Enfin, les candidats sont incités à mettre en valeur leurs savoir-faire pédagogiques.

 

  • Points forts Points faibles
Points forts   Points faibles

 - Le candidat s’approprie le dossier dans son ensemble et le relie à des objectifs précis ;

- Construction d’un plan-idée ;

- Contenu rigoureux et exigeant. 

 - Formulation du sujet peu rigoureuse en regard des programmes ;

- Un plan qui ne correspond pas au traitement du sujet annoncé et aux objectifs affichés par le candidat. 

 

 Savoir communiquer

La capacité à communiquer oralement étant une qualité indispensable pour un enseignant, le jury y est très sensible. Elle passe par un certain nombre de règles et principes : expression orale soignée, français correct et vocabulaire précis, élocution claire et convaincante, comportement dynamique, capacité à se détacher de ses notes, registre de langue et attitude corporelle adaptés à une situation d’enseignement. Quel que soit le stress, certes compréhensible, le jury doit être en mesure d’apprécier les qualités du candidat à intéresser son public, à mettre en valeur l’essentiel, à dispenser un enseignement rigoureux, à se faire comprendre de son auditoire.

L’utilisation du tableau est fortement recommandée pour présenter les grandes lignes du plan, expliquer certains raisonnements, présenter des schémas. Il convient à la fois de noter l’essentiel et de ne pas trop écrire, afin de faire preuve de sa capacité à gérer l’utilisation de cet outil important.

Il est par ailleurs conseillé d’utiliser correctement l’intégralité des trente minutes accordées, la capacité à gérer son temps étant une qualité indispensable pour un enseignant. Un exposé trop court témoigne souvent d’un contenu pauvre et insuffisant. Un exposé non fini, arrêté en cours de développement, perd de sa cohérence et témoigne d’une mauvaise maîtrise du temps.

 

  • Points forts Points faibles
Points forts   Points faibles

 

- Utilisation diversifiée et organisée du tableau (plan de l’exposé, mécanismes, éléments de démonstration, notions clés, travail d’exploitation des documents, etc ;

- Une gestion satisfaisante du temps.

 

 

 - Le tableau n’est utilisé que pour y écrire le plan de l’exposé ;

- Le ton est monotone, aucun élément n’est mis en relief.

- Un exposé trop court ou au contraire trop long et qui ne peut donc être achevé.

 

L'entretien

La fin de l’exposé peut avoir pour effet un certain soulagement, voire une certaine décompression. Il est pourtant important de rester intellectuellement combatif. Le déroulement de l’entretien est susceptible d’infléchir de façon non négligeable l’évaluation de la prestation du candidat.

L'entretien d'une durée totale de 25 minutes, commence dès que le candidat a terminé son exposé. En règle générale, les premières questions posées s’inscrivent dans le prolongement de l’exposé ; le candidat peut ainsi être amené à :

- expliquer certains de ses choix,

- définir ou préciser le sens de certaines notions,

- détailler des éléments de raisonnement, préciser un point théorique, etc.

 

Éventuellement, on peut lui signaler des erreurs commises et lui demander de reprendre le point fautif. Le candidat doit veiller à être à l’écoute du jury de façon à réagir aux questions et indications données, elles visent aussi à attirer son attention sur un point traité de façon peu satisfaisante. Être capable d’adopter une attitude réflexive est un point fort que le jury sait apprécier. C’est parfois seulement au moment de l’entretien que des candidats réussissent à problématiser leur sujet ou prennent conscience de l’intérêt qu’aurait eu un autre plan.

La seconde partie des questions posées par les membres des jurys vise principalement à évaluer l’étendue de la culture disciplinaire des candidats : connaissances notionnelles, théoriques, factuelles, maîtrise des savoir-faire, connaissance des épreuves du baccalauréat, etc., aucun sujet en rapport avec les programmes et l’exercice du métier de professeur de sciences économiques et sociales n’est tabou. Il est de ce point de vue inadmissible que des notions de base ne soient pas maitrisées. Les candidats, qui généralement ont suivi un cursus universitaire centré sur une seule discipline, doivent se mettre à niveau dans le domaine qui n’est pas initialement le leur. Sans que cela soit systématique, le candidat peut être interrogé, à un moment de cet entretien, sur le fonctionnement du système éducatif, les missions des professeurs, ses obligations, etc.

Enfin, la dernière partie de l’entretien est consacrée à des questions sur le dossier présenté par le candidat pour l’admissibilité. Elles visent à mesurer la capacité de prise de recul, d’analyse de la séquence présentée et/ou du parcours professionnel. Elles ont également pour but de vérifier l’authenticité des éléments et activités proposées ; ainsi des questions peuvent être posées, notamment, sur les éléments bibliographiques cités, la mise en oeuvre dans la classe, les documents utilisés ou la démarche choisie et ses justifications.

 

Pour les candidats n’ayant jamais enseigné la discipline, une attention particulière est portée à la capacité à se projeter dans le métier de professeur de sciences économiques et sociales, à montrer comment leur parcours professionnel est susceptible d’enrichir leur pratique de professeur de cette discipline et à la connaissance des exigences de cet enseignement.

  • Points forts Points faibles

 

Points forts   Points faibles

- Le candidat fait preuve de réactivité lorsque certains éclaircissements lui sont demandés ou lorsque le jury attire son attention sur certaines erreurs ou approximations (cohérence du plan, connaissances notionnelles, explicitation de mécanismes, etc.)

- Le candidat montre que sur certains points il est capable de développer davantage un argument, de fournir une analyse plus approfondie ;

- Le candidat défend ses arguments avec rigueur et conviction ;

- Une parfaite maîtrise des savoir-faire statistiques (TCAM, déciles, indices, etc.) ;

- Une capacité à expliquer, justifier, relativiser les éléments apportés dans le dossier.

 

 - Des connaissances factuelles très fragiles : ordres de grandeur des grands agrégats ou d’indicateurs couramment usités : SMIC et salaire médian en France ;

- Des connaissances notionnelles très imprécises (définir l’homogamie ou le revenu disponible, écrire l’équilibre emplois ressources, distinguer le salaire brut du coût salarial sont des exemples de ce qui a posé problème à certains candidats)

- Le manque de maîtrise des champs disciplinaires ;

- Le candidat élude les questions, dilue ses réponses de façon “ à gagner du temps ” ou à l’inverse se montre incapable de développer ses réponses ;

- Le candidat ne connait pas le contenu précis de son dossier RAEP.

 

Pour finir, la situation de concours est bien évidemment stressante, mais certains candidats sont parfois trop émotifs ce qui nuit à leur prestation. Le jury est généralement bienveillant pourvu que le candidat fasse preuve d'un minimum de savoir-faire et de connaissances scientifiques maîtrisées.

 

L’exercice de mathématiques

  • Finalité et déroulement de l’épreuve de mathématiques

L’épreuve consiste en la résolution d’un exercice : l’objectif est d’évaluer les capacités du candidat à maîtriser les concepts et techniques mathématiques nécessaires au traitement de problèmes socio-économiques et à en comprendre la formulation mathématique.

Le programme est publié au Bulletin Officiel spécial n°1 du 27 janvier 2011 (disponible à l’adresse http://media.education.gouv.fr/file/special_1/39/5/capes_internes_ses_167395.pdf )

La recherche de l’exercice se fait dans le cadre du temps de préparation à l’oral. Une calculatrice graphique de type lycée (Casio ou T.I.) est mise à disposition des candidats. (L’usage de la calculatrice personnelle est interdit durant le concours).

20 minutes de la présentation orale sont consacrées à la résolution de cet exercice ainsi qu'aux questions afférentes.

  • Remarques générales

Le jury attend tout d’abord une bonne connaissance de l'aspect mathématique des questions économiques des programmes de lycée et une lecture réfléchie des documents statistiques et graphiques. Les premières questions de l’exercice proposé, en rapport direct avec les connaissances des élèves de la série ES doivent être traitées par tous les candidats. Certaines compétences ne peuvent être ignorées par aucun enseignant en sciences économiques et sociales : par exemple, savoir tirer des informations d’un tableau ou d’un graphique, interpréter correctement une donnée en pourcentage dans un tableau, calculer un taux de variation, calculer une médiane, interpréter un coefficient de corrélation linéaire, un écarttype…

Les exercices de mathématiques proposés sont le plus souvent inscrits dans un contexte économique ou social : le candidat doit avoir le souci constant de donner, s’il y a lieu, le sens des calculs, d’interpréter les résultats, et de tenir compte des unités précisées dans l’énoncé de l’exercice. L’ensemble des rapports du jury des années 2003 jusqu’à 2011 permet aux candidats de disposer d’un échantillon de sujets représentatifs de l’épreuve de mathématiques et nous les invitons à les consulter (ces rapports sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.education.gouv.fr/personnel/siac2/jury/default.htm ).

Toutefois, l’attention des candidats est attirée sur le fait que les sujets de la session 2013 pourront porter sur la totalité du programme paru en janvier 2011.

Il serait souhaitable que les candidats aient une certaine familiarité, et pas seulement pour des calculs simples, avec les calculatrices graphiques en usage dans les lycées : elles offrent des possibilités de traitement de calcul en particulier statistiques et de représentations graphiques souvent inexploitées par les candidats. Ce sont pourtant les outils de calculs et de représentations graphiques qu’utilisent quotidiennement les élèves de lycée.

Enfin, il est rappelé aux candidats qu'il est souhaitable qu'ils réservent une partie significative du temps de préparation à la recherche de l'exercice de mathématiques, la note de mathématiques s'avérant souvent déterminante dans le résultat final.

apses2 Adhérez à l'APSES

Liste de diffusion APSES Concours

SESâme, le manuel en ligne de l'APSES